L’ancien président, Mohamed Ould Abdel Aziz, a déclaré avoir fait l’objet d’un ciblage personnel, car il a été privé de ses droits financiers, en sa qualité d’ex-chef d’État. Les procédures du dossier n’ont même pas commencé, a-t-il révélé.
Ould Abdel Aziz répondait aux questions posées par l’un de ses avocats, en l’occurrence la libanaise Sandrila Merhej.
Celle-ci l’interrogeait sur la persécution dont il fait l’objet depuis son départ de la présidence. Le président du Tribunal a fait objection à de telles questions, estimant qu’elles n’ont pas trait aux faits dont était saisie la Cour, demandant à l’avocate de s’en tenir aux faits.
Alors, Me Sandrila Merhej a insisté pour poser ses questions, le juge lui a ordonné interdit de poser des questions en raison éloignement par rapport aux faits, l’avocat a répondu : « Vous m’empêchez de défendre mon client ». Ici, la défense est intervenue, exigeant qu’elle ait la possibilité de poser ses questions, à l’instar de l’accusation. Le magistrat a souligné que « la décision de la Cour est claire. Les avocats ne doivent pas s’écarter des faits ».
Une fois la situation apaisée, l’avocate à repris ses questions, mais en les reformulant. Ould Abdel Aziz a répondu que les membres de sa famille étaient visés, car ils se sont vu refuser des pièces d’identité, par l’état civil, bien qu’il y ait eu une décision de justice à cet égard. Toutefois, l’état civil a ignoré la décision judiciaire et continue de lui refuser, à lui et à sa famille, le renouvellement du passeport.
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