Depuis fin octobre dernier, le gouvernement salvadorien impose des frais s’élevant à 1 130 dollars aux voyageurs en provenance de plusieurs pays, dont la Mauritanie, et transitant par son aéroport.
Ces frais surviennent alors que Washington exerce de pressions sur les pays d’Amérique Centrale pour mettre fin au flux migratoire qui pénètre par vagues via ses frontières sud.
Les médias américains ont déclaré que l’actuel Président du Salvador, Nayib Bukele, s’emploie à répondre aux exigences des États-Unis en matière de contrôle de l’immigration, parallèlement à sa quête d’une réélection malgré l’interdiction constitutionnelle et son bilan dans le domaine des droits de l’homme.
Dans un rapport publié par le site NEWSER, l’administration de l’ancien président américain Donald Trump a donné la priorité au Salvador pour freiner l’immigration. Et sous l’actuel président Joe Biden, les États-Unis ont publiquement critiqué le bilan de Bukele dans le domaine de la démocratie et des droits de l’homme.
Le site indique également que l’administration Biden a souligné que les pays d’Amérique Centrale « doivent intensifier leurs efforts et faire davantage » pour contrôler la migration, qui est devenue un véritable défi pour les États-Unis.
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