Le président de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH), Ahmed Salem Bouhoubeïny, a déclaré que la Commission est considérée un mécanisme qui permet aux Mauritaniens d’accéder à leurs droits, de les éduquer et de les former sur les modalités de dépôt de plainte.
Telle est la teneur de son intervention lors d’un séminaire organisé mardi par la CNDH dans la commune de Riyad à Nouakchott sud, sur « la diffusion d’une culture de paix et de non-violence ».
Ould Bouhoubeïny a ajouté que l’organisation de ce séminaire s’inscrit dans le cadre du programme de la commission visant à œuvrer à l’introduction des droits de l’homme et à diffuser une culture de sensibilisation auprès des citoyens.
Il a déclaré que la CNDH vise à fermer la voie aux discours de haine, aux appels à la violence, qui constituent des violations des droits de l’homme. Il s’est étendu sur les méthodes adoptées par la commission basées sur la diplomatie, les bonnes pratiques, selon ses termes.
À son tour, le maire de la commune de Riyad, Abdoula Ould Idriss Kane, s’est rejoui de l’organisation de cette rencontre, qui, à n’en point douter, contribuera à diffuser la culture des droits de l’homme, a dit l’édile.
Il a salué le niveau de coopération entre sa mairie et la CNDH, en synergie avec les associations concernées par la promotion des droits de l’homme de la place.
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