Le Niger, le Mali et le Burkina Faso ont annoncé ; Mercredi à Niamey, la capitale du Niger, une force militaire conjointe a été formée pour lutter contre ce qu’ils appellent le « terrorisme dans la région du Sahel ».
Le chef d’état-major nigérien, le général Moussa Salah Barmo, a affirmé que la force conjointe des trois pays « commencera à travailler le plus rapidement possible, compte tenu des défis sécuritaires dans la région ». D’autant qu’ils sont « convaincus que grâce aux efforts conjoints des trois pays, ils réussiront à créer les conditions d’une coopération sécuritaire commune », selon ses propos.
C’est ce qui ressort d’un communiqué publié à l’issue d’une réunion du Conseil des Chefs d’Etat-major des membres de la « Coalition des États du Sahel », qui comprend les trois pays précités, à Niamey, la capitale du Niger.
L’agence de presse nigériane a rapporté que la réunion de Niamey a discuté des propositions préparées par des experts et des responsables des trois pays, pour établir des mesures visant à assurer la sécurité sur les territoires des pays susmentionnés.
Il est à noter que la « Coalition des États du Sahel » a été constituée en septembre dernier. Par le Niger, le Burkina Faso et le Mali, tous trois dirigés par des militaires ayant pris le pouvoir à la suite d’une série de coups d’État au cours des dernières années, depuis 2020.
Les trois pays se sont retirés du G5-Sahel, ainsi que de la Communauté Economique Des États d’Afrique de l’Ouest, ont expulsé les forces militaires françaises de leurs territoires et ont cherché à trouver de nouveaux partenariats avec la Russie.
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