Mardi, la police mauritanienne a dispersé des manifestations organisées par des médecins internes devant le siège du Parlement, au centre de Nouakchott.
Les médecins internes avaient annoncé le départ d’une marche de protestation devant l’Assemblée nationale en direction du palais présidentiel, pour transmettre leur message au Président mauritanien, selon un communiqué.
Lors de la dispersion de la manifestation, la police a agressé le photographe de l’Agence Akhbar, Mohamed Ould Isselmou, de même que le journaliste Salek Zeïd, représentant de Reporters Sans Frontières et a confisqué leur matériel.
Il y a quelques jours, le rapport de RSF plaçait la Mauritanie en tête des pays africains et arabes en termes de liberté de la presse, se classant au 33e rang mondial, malgré des atteintes et des confiscations de matériel récurrentes.
Le gouvernement espagnol a dévoilé de nouvelles mesures pour lutter contre la crise du logement, notamment une surtaxe pouvant aller ...
Le 3e contingent du 9e Bataillon mauritanien de maintien de la paix en Centrafrique a quitté, mardi à l’aube, l’aéroport ...
L’Agence européenne de contrôle des frontières (Frontex) a signalé que le nombre de migrants qui ont emprunté la route de ...