Daniele Cibéraci a accusé des responsables officiels en Mauritanie de chercher à ternir sa réputation ainsi que celle de sa société « Niofar Consulting » à travers une enquête médiatique prévue pour être diffusée ce soir, sans l’impliquer ni lui permettre de présenter ses preuves et témoignages.
Dans un communiqué publié sur son compte LinkedIn, Cibéraci a déclaré avoir informé la conseillère chargée du secteur privé, Fatimetou Mint Horma, de sa volonté de fournir des preuves écrites et anonymes concernant l’affaire, à condition qu’une protection soit lui assurée. Mais elle n’a reçu aucun suite, ni communication.
Elle a ajouté : « Il est clair que ce qui se passe n’est pas une véritable enquête, mais une campagne systématique pour rejeter la faute, semer la confusion et faire taire les lanceurs d’alerte », en affirmant qu’aucune entité chargée de la protection des investissements dans le pays ne l’a contactée jusqu’à présent.
Cibéraci a critiqué ce qu’elle appelle la tentative de « cacher le scandale et de protéger le statu quo au détriment de la transparence et de la confiance des investisseurs ».
Elle a appelé les journalistes mauritaniens à la contacter, précisant qu’elle est désormais prête à fournir une déclaration officielle et des preuves documentées.
Elle a conclu en disant : « Il ne s’agit pas seulement de ma société. Cela concerne l’intégrité, la responsabilité et la création d’un environnement commercial équitable en Mauritanie et en Afrique. J’aime la Mauritanie. Vous (Mauritaniens), méritez le meilleur. »
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