La capitale malienne, Bamako, a été le théâtre, dimanche dernier, de nouvelles manifestations menées par des leaders de mouvements jeunes dans la sphère politique et civile, en protestation contre les propositions du conseil militaire concernant la dissolution des partis politiques et l’octroi au président de la transition, le général Assimi Goïta, d’un mandat présidentiel de cinq ans sans recourir aux urnes, selon un rapport de Radio France Internationale (RFI).
Cette manifestation est survenue un jour après une mobilisation similaire organisée par des partis politiques. Les jeunes se sont réunis à la Maison de la Presse de Bamako pour lire une déclaration commune rejetant les nouvelles orientations politiques du pouvoir. Bien qu’ils aient obtenu les autorisations légales, les organisateurs ont été confrontés à des intimidations de la part de jeunes partisans du pouvoir et de forces de sécurité qui ont tenté de les empêcher d’entrer dans la salle, selon le rapport.
Dans leur déclaration, les manifestants ont réaffirmé leur attachement à la démocratie et rejeté la gouvernance militaire sans mandat populaire, soulignant que toute tentative d’imposer un fait accompli serait confrontée à une mobilisation populaire pacifique pour défendre l’État de droit.
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