Des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique ont dévoilé la première carte mondiale open source des usines de farine et d’huile de poisson (FMFO), connues localement sous le nom de « Moka », qui constituent un moteur caché de la croissance rapide de l’aquaculture à travers le monde.
Selon l’étude publiée dans la revue Science Advances, 506 usines ont été identifiées dans 60 pays, principalement situées dans des zones industrielles côtières. Les produits de ces usines sont utilisés pour nourrir les espèces de poissons d’élevage les plus courantes, telles que le saumon, la crevette et le bar.
Cependant, la méthode de production de ces ingrédients suscite beaucoup d’inquiétudes, car de nombreuses usines utilisent des poissons entiers comme les sardines, les anchois et le maquereau, qui constituent une source alimentaire essentielle pour des millions de personnes, notamment dans les communautés côtières à faibles revenus.
Bien que certaines usines prétendent utiliser uniquement des résidus de poissons préparés pour la consommation humaine, les experts mettent en garde contre l’inexactitude de ces affirmations.
La Mauritanie, aux côtés de pays comme le Pérou et l’Inde, se distingue comme l’un des plus grands producteurs de farine et d’huile de poisson, ce qui en fait un acteur clé de ce secteur jusque-là peu exposé. Les chercheurs espèrent que la publication de cette carte favorisera plus de transparence, de régulation et de responsabilité dans cette industrie aquacole en pleine expansion à l’échelle mondiale.
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