Le politicien mauritanien Mohamed Jamil Mansour a estimé que la tentative de coup d’État en 2003 contre le régime de l’ancien président Maaouiya Ould Taya ne mérite ni « une louange ouverte ni une condamnation automatique », soulignant que son contexte et ses particularités restent marqués par des limites et des réserves qui n’ont pas encore été dépassées.
Mansour a affirmé que l’organisation « Chevaliers du changement », qui a mené le coup d’État contre le régime de l’ancien président Maaouiya Ould Sid Ahmed Taya, était une structure indépendante ne dépendant d’aucun parti ni mouvement, malgré l’existence de loyautés et de sympathies individuelles en son sein. Il a estimé que la faiblesse de la préparation et la confusion dans l’exécution ont contribué à l’échec de la tentative.
Il a également conclu que les coups d’État militaires, même ceux visant des régimes autoritaires, conduisent souvent à de nouveaux régimes autoritaires, estimant que le courage seul ne suffit pas à réussir un changement par la force.
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