Le groupe Jamaât Nasr al-Islam wal-Mouslimin (JNIM), affilié à Al-Qaïda, continue d’étendre son contrôle sur la zone de Diafarabé et ses environs, au centre du Mali, considérant toute personne refusant de se soumettre à son autorité comme un ennemi. Ces dernières semaines, au moins 11 civils ont été enlevés dans la région, parmi lesquels des chefs de village et des élus locaux, toujours détenus à proximité de Diafarabé.
Des sources rapportent qu’un nouveau groupe de civils a été enlevé dans la nuit de lundi à mardi, tandis que des négociations sont en cours pour obtenir leur libération.
Le groupe extrémiste exige l’évacuation de certaines zones de leurs populations civiles afin de renforcer son emprise sur des communes locales soumises à un siège. La région est en proie à une montée des tensions depuis plus de deux semaines, selon Radio France Internationale (RFI).
Par ailleurs, la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) et Amnesty International ont dénoncé l’exécution extrajudiciaire de dizaines de civils à Diafarabé le mois dernier, attribuée à l’armée malienne avec l’appui de chasseurs traditionnels « Donso ». À ce jour, aucune réaction officielle n’a été émise par la hiérarchie militaire malienne face à ces accusations.
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