Le ministre de la Justice, Mohamed Mahmoud Boya, a indiqué que le transfèrement du Malien Yaya Cissé, condamné à mort en Mauritanie, vers son pays pour purger le reste de sa peine s’inscrit dans le cadre des accords judiciaires signés avec plusieurs pays qui prévoient la possibilité d’extrader les condamnés pour purger leur peine dans leur pays d’origine, quel que soit le type de crime.
En réponse à une question lors de la conférence de presse gouvernementale hebdomadaire, le ministre a précisé que ces mesures ne sont pas exceptionnelles, mais sont mises en œuvre dans le cadre de la coopération judiciaire internationale, et que la Mauritanie a déjà bénéficié de ces accords à de nombreuses reprises. Parmi celles-ci figurent le retour de deux jeunes Mauritaniens et d’une famille mauritanienne qui se trouvaient en Espagne, ainsi que l’extradition de suspects de meurtre par les autorités maliennes.
Concernant le citoyen malien expulsé, le ministre de la Justice a rappelé qu’il avait été emprisonné en Mauritanie et appartenait à un gang qui avait assassiné l’un des meilleurs fils du pays. Il a ensuite été transféré vers le Mali à la demande officielle de Bamako, conformément aux accords signés et en considération des intérêts du pays.
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