Le Comité des Nations Unies sur les disparitions forcées (CED) a publié aujourd’hui ses conclusions sur la Mauritanie, le Nigeria, le Mexique et les Pays-Bas, après avoir examiné la situation à cet égard dans les quatre États parties susmentionnés, lors de sa dernière session.
Les conclusions incluent les principales préoccupations et recommandations du Comité concernant la mise en œuvre de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées.
Au sujet de la Mauritanie, le comité a indiqué avoir noté que « des consultations sont en cours sur le règlement du dossier du passif humanitaire, par rapport aux événements de 1989. Une grande partie de la population a fait l’objet de disparitions forcées, de détentions arbitraires, d’exécutions extrajudiciaires, et d’expulsions massives.
Le comité a également noté que « les propositions visant à la mise en place de mécanisme de vérité et de réconciliation n’ont pas été examinées en profondeur », et a appelé la Mauritanie à garantir une enquête approfondie sur tous les cas de disparition forcée au cours de cette période, et à clarifier le sort des victimes disparues ».
Le comité a également demandé à la Mauritanie « de poursuivre et de punir toutes les personnes impliquées dans les disparitions forcées, y compris les responsables militaires et civils ».
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