Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme a appelé les dirigeants du Burkina Faso à ouvrir une enquête « approfondie, indépendante et transparente » sur le meurtre de 70 civils dans le village de Zaungou, au nord du pays.
Le Haut-Commissariat a indiqué dans un communiqué que son bureau « au Burkina Faso continue de rechercher des informations sur ce qui s’est passé, mais est incapable à ce stade d’identifier les auteurs », soulignant la nécessité de poursuivre les responsables de tels actes dans le cadre d’un procès équitable et transparent, en plus de l’indemnisation des victimes.
Lundi dernier, le ministère public du Burkina Faso a annoncé, dans un bilan provisoire, qu’au moins 70 civils, pour la plupart des enfants et des personnes âgées, ont été tués le 5 novembre dans le village de Zaungou.
Depuis 2015, le pays a subi de violentes attaques commises par l’EI et Al-Qaïda, entraînant la mort de milliers de personnes et le déplacement d’environ deux millions de personnes, selon des organisations non gouvernementales. Les groupes armés contrôlent environ 40% du territoire burkinabé, selon la même source.
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