La police mauritanienne a dispersé ce jeudi par la force des marches organisées par l’Union Nationale des Etudiants Mauritaniens (UNEM), devant le siège de l’Institut Supérieur de Comptabilité et de Gestion des Entreprises (ISCAE), à Tevragh Zeina, à Nouakchott ouest.
Le syndicat a déclaré – dans un communiqué rendu public aujourd’hui – que la police a de nouveau recouru à la « violence » et a tiré des gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants. L’UNEM dénonce ce qu’elle qualifie de « critères injustes », « la suppression de l’aide sociale » et l’autisme « des revendications estudiantines », selon le communiqué.
C’est le 4e jour consécutif au cours duquel la police mauritanienne a dispersé, comme d’habitude, avec violence des marches estudiantines qui allaient partir de l’ISCAE, en direction du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.
Pour la 4e fois consécutive, les étudiants sont frappés, molestés, maltraités à coups de matraques et de lacrymogènes.
Certains blessés, comme à l’accoutumée, ont été transférés à l’hôpital de traumatologie, d’autres à l’hôpital national pour traitement.
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