Le ministère mauritanien de la Culture a déclaré que le leadership de la Mauritanie en matière de liberté de la presse en Afrique et dans le monde arabe ne vient pas du néant, mais est résulte d’une batterie de réformes juridiques et institutionnelles.
Le ministère a indiqué dans un communiqué que le processus a commencé avec la formation d’un comité national chargé de réformer le secteur des médias.
Celui-ci a identifié dans son rapport les dysfonctionnement les plus importants qui entravent le travail journalistique.
Les lois régissant le secteur ont été ensuite mises en œuvre à travers l’élargissement des prérogatives de la Haute Autorité de la Presse et de l’Audiovisuel.
Le ministère a indiqué avoir publié un décret pour le service de presse électronique et la loi sur les journalistes professionnels, restructurant le soutien public au journalisme privé, en doublant les ressources financières et en améliorant les conditions des journalistes dans les institutions médiatiques publiques.
La tutelle a confirmé que, dans le cadre de la diversité et de l’élargissement du champ des libertés, le champ médiatique s’est élargi avec l’octroi de licences à deux chaînes de télévision indépendantes.
La Mauritanie se classe première en Afrique et dans le monde arabe et 33e au niveau international au classement mondial de la liberté de la presse, selon le rapport de Reporters sans frontières de cette année (2024). Et ce après avoir occupé le 94e rang au niveau international, 3e dans le monde arabe et 14e en Afrique, lors de l’élection du Président mauritanien Mohamed Ould Cheikh El-Ghazouani en 2019.
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