Un Tribunal américain a libéré, ce mercredi 26 juin 2024, Julian Assange, fondateur du site WikiLeaks en vertu d’un accord qui lui permet de rentrer chez lui en Australie et met fin à un feuilleton judiciaire qui a duré 14 ans.
Conformément à l’accord conclu avec la justice américaine, le lanceur d’alerte australien a plaidé coupable d’obtention et de divulgation d’informations sur la défense nationale.
Assange a comparu ce mercredi lors d’une séance d’écoute rapide devant le Tribunal fédéral de Saipan, dans les îles Mariannes.
L’accord de »confession d’aveux de culpabilité » conclu avec la justice américaine, en contrepartie de la relaxe, lui interdit de revenir aux États-Unis d’Amérique sans une autorisation judiciaire, selon le ministère de la justice.
Qu’à cela ne tienne. Ainsi prend fin une saga judiciaire de 14 ans et l’expert informaticien de 52 ans pourra rentrer à domicile après une longue poursuite judiciaire consécutive à la publication en 2010 de centaines de milliers de documents américains confidentiels.
« J’ai encouragé ma source », la militaire américaine Chelsea Manning, à l’origine de cette fuite massive, « à fournir du matériel qui était classifié », a-t-il reconnu à la barre, a rapporté l’AFP.
Selon l’agence, Assange, vêtu d’un costume noir et d’une cravate marron a étreint ses deux avocats à l’annonce du verdict, avant de quitter les lieux sans faire de déclaration à la presse.
« Aujourd’hui est un jour historique », s’est félicitée Me Jennifer Robinson, son avocate.
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