L’ancien président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz et Fadili Ould Rayess, un des avocats de la partie civile, ont échangé mardi des messages cachés et des menaces de révélation de secrets.
Me Rayess a accusé l’ex-Chef d’Etat de posséder des appareils permettant d’espionner les citoyens, rappelant qu’Aziz lui-même était sous écoute sans s’en rendre compte.
Ould Abdel Aziz a, pour sa part, déclaré que personne ne peut le diriger et que tout ce que, eux, ils craignent sera révélé au moment opportun et il en donnera les détails précis avec des dates, des noms et des chiffres.
Il a ajouté que l’article 93 n’existe plus. Par conséquent, il n’y a de crainte pour personne, a-t-il dit.
D’autre part, Ould Rayess a exigé que si des secrets d’Etat étaient divulgués, les audiences du procès soient closes, ajoutant : « Nous avons répondu par d’autres secrets et s’il persiste, nous demanderons à ce que le procès se poursuive à huis-clos ».
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