Le Président Mohamed Ould Cheikh El-Ghazouani a partagé, ce mardi soir, le repas de rupture du jeûne (iftar) avec les staffs médicaux travaillant au Centre hospitalier national de Nouakchott.
Cet iftar est une expression de reconnaissance pour le rôle des équipes médicales et un moyen pour le Président de rehausser leur moral, en appréciant leurs sacrifices pour améliorer les services de santé et fournir des soins médicaux appropriés aux citoyens, selon le bureau de presse de la Présidence.
Lors de cette rencontre, Ghazouani a réaffirmé son engagement à poursuivre le développement du secteur de la santé, en soulignant les grandes transformations enregistrées depuis 2019, notamment :
• L’amélioration des conditions de vie des travailleurs du secteur, par le doublement des salaires et le recrutement de plus de 2900 nouveaux employés.
• L’élargissement de la couverture de l’assurance maladie pour inclure les catégories les plus nécessiteuses, avec une augmentation de 147 % du nombre de bénéficiaires, atteignant 100000 familles défavorisées.
• Lancement de nouveaux services tels que la transplantation rénale pour la première fois dans le pays, et soutien à la prise en charge des maladies telles que le cancer, les maladies cardiaques et le paludisme.
• Augmentation du nombre d’ambulances de 70 à plus de 260, et élévation du nombre de centrales de production d’oxygène d’une seule en 2019 à 19 à ce jour.
• Création et équipement de nouveaux hôpitaux et centres médicaux, tels que l’hôpital de Sélibaby (150 lits), le centre hospitalier régional d’Atar (150 lits), et l’extension de l’hôpital des spécialités à Nouakchott (de 47 à 140 lits).
L’ambassadeur de France en Mauritanie, Alexandre Garcia, a déclaré que le projet du nouveau Centre national de transfusion sanguine à ...
L’ambassadeur de la République d’Espagne en Mauritanie, Pablo Barbara Gómez, a exprimé ses félicitations au gouvernement mauritanien pour les mesures ...
L’Assemblée nationale a adopté, ce jeudi, deux projets de loi. Le premier concerne l’approbation de l’amendement de Kigali au Protocole ...