Le leader du mouvement IRA, le député Biram Dah Abeid, a déclaré qu’il présente ses excuses, au nom d’IRA et des droits de l’homme, pour les propos des parlementaires Mariem Cheikh et Ghamou Achour, qu’il a jugés « injustifiés et démesurés », notamment ceux relatifs à la Première Dame.
Dans une diffusion en direct sur Facebook, Biram a appelé ses partisans et tous les militants à respecter la loi sur les symboles, malgré son rejet de son contenu. Il la considère « in applicable, car elle cible les personnes vulnérables de tous les segments de la société ». Par conséquent, Biram souligne la nécessité d’une lutte pacifique pour la supprimer par des voies légales.
Concernant l’activiste Warda Ahmed Suleiman, Biram a noté la gestion « calme » de son cas par l’État, estimant que « l’Etat, par le biais de ses pions, à retiré les plaintes déposées contre elle », ce qu’il considère comme un indicateur positif.
Dans sa défense des militants de l’IRA, Biram a souligné que le mouvement a le droit de s’exprimer et de réagir, même si cela implique, parfois, de traiter les responsables – y compris le Président – d’« insectes ». Il a soutenu que « les opprimés peuvent dénoncer ceux qui leur ont fait du tort », rappelant qu’il avait personnellement été l’objet d’offenses et d’injures autrement plus graves.
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