« Transparence Globale » , une organisation de la société civile mauritanienne dirigée par l’ancien sénateur Mohamed Ould Ghadda, a appelé le gouvernement et le Parlement à réintégrer le président de l’Assemblée nationale et ses adjoints sur la liste des personnes tenues de déclarer leur patrimoine. L’ong considère leur exclusion de la version finale du projet de loi comme une grave régression par rapport aux principes de transparence et d’égalité devant la loi.
L’association a expliqué avoir examiné la version originale du projet de loi approuvé par le gouvernement, qui exigeait explicitement que le président du Parlement et ses adjoints fassent de telles déclarations. Cependant, cette clause a été omise dans le texte présenté ultérieurement au Parlement, sans qu’aucune justification juridique ne soit fournie.
Le communiqué ajoute que l’exclusion des représentants du peuple, malgré leurs pouvoirs législatifs et de contrôle, soulève de sérieuses questions quant à la crédibilité des slogans anti-corruption.
Elle a demandé que ce « déséquilibre » soit immédiatement corrigé et que des éclaircissements officiels soient fournis au public concernant les raisons de cet amendement controversé.
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