La Coalition des forces populaires de Mauritanie (CFP, opposition) a condamné ce qu’elle a qualifié de « comportement barbare » des autorités après qu’une unité de police a empêché une conférence de presse prévue à l’hôtel Mauri Center de Nouakchott vendredi soir dernier.
La coalition a déclaré dans un communiqué publié lundi que la police s’était appuyée sur une décision de justice émise par la Chambre civile de Nouakchott Ouest, affirmant que la conférence était organisée par le Rassemblement des forces démocratiques.
La coalition a démenti ces informations, soulignant que l’avis d’organisation de l’événement a été soumis au gouverneur de Tevragh-Zeina au nom du parti de l’Union des Forces du Progrès, l’un des partis fondateurs de la coalition.
La coalition a considéré cette action comme un « grave recul dans le domaine des libertés publiques » et une « violation flagrante de la constitution et des lois », soulignant que de telles pratiques, « dignes des époques révolues », ne la dissuaderont pas de poursuivre sa lutte pacifique pour instaurer un État de droit.
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