La Direction de l’information, de la publication et de la documentation du Haut Conseil de la fatwa et des réclamations a précisé que la récente fatwa concernant une cargaison de poulets importés de Chine a été émise en réponse à une question spécifique adressée au Conseil par une entité officielle, dont la correspondance était intitulée : « Section des importateurs et distributeurs d’oignons, de pommes de terre et de poulets ».
La question indiquait qu’une cargaison de poulets était arrivée sur le marché sans mention claire du pays d’origine ni de dates précises, bien que sa provenance supposée soit la Chine. Les requérants demandaient donc une clarification sur la licéité, selon la charia, de la vente et de la consommation de cette marchandise.
Le Conseil a affirmé que sa réponse s’est appuyée exclusivement sur les informations contenues dans la question, lesquelles précisent que la cargaison provient d’un pays non « kitabî » (non reconnu comme appartenant à une religion monothéiste révélée, en l’occurrence la Chine). Dès lors, la charia considère que ce produit n’est pas licite, sauf si une preuve fiable atteste que l’abattage a été effectué conformément aux règles islamiques par un musulman ou une personne du Livre.
Le communiqué a également précisé que le rôle du Conseil n’est pas de vérifier l’authenticité des déclarations du demandeur ni d’enquêter sur les documents fournis. Il se limite à émettre des avis juridiques sur la base des éléments reçus.
Le Conseil national de la jeunesse a lancé, ce mardi matin depuis son siège à Nouakchott, la deuxième phase du ...
Ghazouani échange avec une délégation de BP sur le renforcement de la coopération gazière Le président mauritanien, Mohamed Ould Cheikh ...
Le ministre de l’Autonomisation de la Jeunesse, de l’Emploi, des Sports et de la Fonction publique, Mohamed Abdellah Ould Loulé, ...