Susan C. Gardner, directrice de la Division des écosystèmes au Programme des Nations Unies pour l’environnement, a déclaré avoir été impressionnée et reconnaissante lors de sa visite en Mauritanie, où elle a rencontré des femmes engagées dans un projet environnemental innovant consistant à transformer une plante en nattes vendues comme source de revenu, dans le cadre d’un programme de restauration des écosystèmes marins.
S’exprimant depuis Nouakchott lors de la 14e Conférence des Parties à la Convention d’Abidjan, Gardner a souligné que ce modèle local simple portait un message fort, affirmant que « lorsque les efforts de protection répondent aux besoins du quotidien, ils ouvrent de nouvelles perspectives ».
Elle a expliqué que l’autonomisation des femmes à travers des projets environnementaux concrets transforme la protection de la nature, perçue comme un concept lointain, en un levier de développement, de revenus et de dignité. Elle a salué le leadership et la coopération des gouvernements ainsi que du secrétariat de la convention pour leur engagement en faveur de la protection du littoral africain, long de plus de 14 000 kilomètres.
Elle a conclu en affirmant que la Conférence d’Abidjan constitue un pilier essentiel pour la protection des océans en Afrique et dans le monde, à travers les avancées vers l’objectif « 30×30 » et l’établissement de l’Accord sur la haute mer, estimant que l’esprit de coopération régionale est aujourd’hui plus nécessaire que jamais.
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